Les Paradoxes De L Conomie Du Savoir

La connaissance joue un rôle fondamental dans l'évolution des sociétés contemporaines, les mécanismes de production, d'appropriation et de dissémination des connaissances se heurtent aujourd'hui aux contraintes de la globalisation. Les fondements et les mécanismes de fonctionnement d'une économie immatérielle se trouvent ainsi remis en cause dans de nombreux domaines (stratégies R&D et d'innovation des agents économiques, gestion de l'environnement, dispositifs de formation, analyse macroéconomique des économies, etc.). Cette remise en cause, dont la lecture se fait à travers l'analyse des stratégies et des comportements des acteurs économiques, suscite la formation de paradoxes, voire de contradictions. Après avoir mis en évidence les repères, les trajectoires et les promesses que dessine l'économie du savoir, cet ouvrage propose d'explorer les singularités de la production et l'usage des connaissances, les processus de qualification et de gestion des ressources cognitives, mais également ceux qui ont trait au fonctionnement des économies.

Qu'est-ce que l'économie du savoir L'économie du savoir, ou économie basée sur la connaissance, est un système économique dans lequel la production de biens et de services repose principalement sur des activités à forte intensité de connaissances. activités qui contribuent à l’avancement de l’innovation technique et scientifique. L’élément clé de la valeur réside dans la plus grande dépendance à l’égard du capital humain et de la propriété intellectuelle en tant que source d’idées, d’informations et de pratiques innovantes. Les organisations sont tenues de capitaliser sur ces « connaissances » dans leur production pour stimuler et approfondir le processus de développement des affaires. On dépend moins des intrants physiques et des ressources naturelles. Une économie basée sur la connaissance repose sur le rôle crucial des actifs incorporels au sein des organisations pour faciliter la croissance économique moderne. Comment vous en bénéficierez ( I) Aperçus et validations sur les sujets suivants : Chapitre 1 : Économie de la connaissance Chapitre 2 : Capital humain Chapitre 3 : Destruction créatrice Chapitre 4 : Société de l'information Chapitre 5 : Productivité Chapitre 6 : Travailleur du savoir Chapitre 7 : Révolution de l'information Chapitre 8 : Post-capitalisme Chapitre 9 : Clusters d'entreprises Chapitre 10 : Déqualification Chapitre 11 : Économie de l'innovation Chapitre 12 : Informatisation Chapitre 13 : Entrepreneuriat Chapitre 14 : Indice économique de la connaissance Chapitre 15 : Technologie et société Chapitre 16 : Société de la connaissance Chapitre 17 : Économie créative (système économique) Chapitre 18 : Clusters d'innovation Chapitre 19 : EFTP (enseignement et formation techniques et professionnels) Chapitre 20 : Modèle d'innovation à triple hélice Chapitre 21 : Agriculture numérique (II) Répondre aux principales questions du public sur l'économie de la connaissance. (III) Exemples concrets d'utilisation de l'économie de la connaissance dans de nombreux domaines. À qui s'adresse ce livre Professionnels du premier cycle et des cycles supérieurs les étudiants, les passionnés, les amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type d'économie du savoir.

Quels seront les effets sociaux de la plus récente des grandes crises économiques mondiales ? Comment survivent les individus lorsqu'ils ne peuvent pas gagner leur vie dans les cadres de l'économie officielle ? Les auteurs réunis ici étudient la dynamique des pratiques économiques informelles et mettent en évidence leur ambivalence morale. Liberté ou servitude, crime ou survie, paix sociale ou faillite de l'Etat providence : selon les contextes, selon les acteurs, l'économie informelle accroît ou réduit l'injustice et les inégalités. Travailler sur les relations formel/informel permet d'entrer au coeur des fonctionnements des divers groupes sociaux et dans leurs relations à l'Etat. C'est la démarche comparative qui montre combien les notions de travail et de loisir, de vie privée et de vie professionnelle, dépendent des règles institutionnelles, de l'existence de systèmes d'assurance et des cultures qui organisent le présent et le futur de chacun. C'est l'historicité de ces frontières qui permet de comprendre les partages changeants entre travail légal et illégal. Les paradoxes de l'économie informelle peuvent être réduits à une question : à qui profite la règle économique contournée, voire bafouée ? Seules des réponses précises peuvent permettre de transformer les règles, ou de les maintenir, en toute connaissance de cause. Foin des principes moraux ou idéologiques : c'est en examinant les pratiques et leurs auteurs et en demandant publiquement qui nous voulons soutenir politiquement que nous pourrons améliorer notre monde économique, à l'échelle nationale et à l'échelle mondiale. Cet ouvrage stimulant clarifie des questions fondamentales pour l'avenir du monde contemporain. Au-delà des acteurs économiques et des décideurs politiques, il s'adresse à tous ceux qui cherchent à comprendre l'économie comme un phénomène social et moral de part en part.

L'auteur propose une réflexion prospective sur le devenir des pays arabes en tant qu'Etats et systèmes de gouvernance économique et sociétale. Les pays arabes ont à repenser leur développement en dépassant 7 paradoxes fondamentaux : culture rentière et instabilité ; vision stratégique et priorités de développement ; fragilité du système productif et chômage des jeunes ; reddition des comptes et responsabilité sociétale ; démocratie représentative et gouvernance locale ; université et économie du savoir ; formation en humanités et culture de la gouvernance démocratique.

Depuis Marx, le problème de la transformation des valeurs en prix de production a suscité une longue polémique que les controverses de Cambridge ont étendue à toutes les écoles de pensée : marxistes, keynesiens, ricardiens et néoclassiques. Gérard Jorland en retrace ici l'histoire et renouvelle notre compréhension de Marx économiste. Il montre en particulier comment ce débat crucial sur la mesure du capital a cessé d'être un affrontement « littéraire » entre positions hétérogènes pour devenir, grâce à son traitement mathématique, une discussion portant sur un terrain commun. Philosophe et historien des sciences, Gérard Jorland est directeur de recherche au CNRS.

Qu'est-ce que l'économie de l'information Une économie qui met davantage l'accent sur les activités informationnelles et le secteur de l'information est appelée économie de l'information. Dans ce type d’économie, l’information est également considérée comme un bien d’équipement. Marc Porat, doctorant à l'Université de Stanford qui co-fondera plus tard General Magic, est celui qui a inventé le mot. Comment vous en bénéficierez (I) Informations et validations sur les sujets suivants : Chapitre 1 : Économie de l'information Chapitre 2 : Manuel Castells Chapitre 3 : L'ère de l'information Chapitre 4 : Destruction créatrice Chapitre 5 : Société de l'information Chapitre 6 : Économie de la connaissance Chapitre 7 : Gestion stratégique Chapitre 8 : Société en réseau Chapitre 9 : Travailleur du savoir Chapitre 10 : Production entre pairs basée sur les communs Chapitre 11 : Révolution de l'information Chapitre 12 : Processus sociaux peer-to-peer Chapitre 13 : Élite Chapitre 14 : Post-capitalisme Chapitre 15 : Marché de la connaissance Chapitre 16 : Marché de l'information Chapitre 17 : Économie de réseau Chapitre 18 : Politique de la connaissance Chapitre 19 : Organisation du savoir (gestion) Chapitre 20 : L'ère de l'information : économie, société et culture Chapitre 21 : Économie créative (système économique) ( II) Répondre aux principales questions du public sur l'économie de l'information. (III) Exemples concrets d'utilisation de l'économie de l'information dans de nombreux domaines. À qui s'adresse ce livre Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type d'économie de l'information.

L'OUVRAGE La production du savoir requiert aujourd'hui une part croissante de l'activité économique. Le développement de l'économie exige une production accrue du savoir. Par production du savoir, on entend l'ensemble des opérations qui créent des connaissances nouvelles et augmentent la disponibilité des connaissances déjà existantes. Recherche scientifique ou technique et éducation sont les plus importantes : elles impliquent l'une et l'autre une production d'informations par la mise en œuvre de moyens matériels et de moyens intellectuels. Quelles sont les conditions de production de cette "industrie du savoir", son originalité, ses coûts et sa productivité ? Comment ses activités s'insèrent-elles dans l'économie des pays capitalistes avancés ? Comment l'analyse économique peut-elle préciser la contribution du capital intellectuel à la croissance ? Tels sont les thèmes, trop partiellement abordés jusqu'ici, autour desquels s'organise cette première synthèse en français de problèmes dont l'importance et l'actualité sont partout manifestes. LE PUBLIC Étudiants de Sciences économiques des 2e et 3e cycles, responsables des entreprises privées ou publiques de recherche scientifique ou technique, administrateurs de l'Éducation nationale et du Plan aux prises avec tous les problèmes du développement. L'AUTEUR JEAN-LOUIS MAUNOURY est professeur à l'U. E. R. de Droit et des Sciences économiques de l'Université de Nice.

Avec l’émergence de l’économie du savoir, de nombreuses transformations ont touché l’emploi et la gestion des ressources humaines. L’auteure s’intéresse à ces transformations – engagement, autonomie et participation au travail, modalités d’apprentissage, formes d’organisation du travail –, tout comme à leurs effets – précarisation de l’emploi, intensification du travail, présentéisme, conciliation travail-famille.